Le papier salé

Le papier salé : version positive du calotype (1840-1860)


Il s’agit d’une épreuve positive sur papier obtenue par contact direct avec un calotype. La feuille de papier est enduite d’un mélange de chlorure et de nitrate d’argent qui la rend sensible à la lumière. Le principe de la photographie moderne, reposant sur l’obtention de plusieurs épreuves positives d’après un cliché négatif, est né. Dès lors, Henry Fox Talbot pourra créer une « imprimerie photographique » et publier en 1844 le premier ouvrage illustré de photographies The Pencil of Nature.

Le frère du calotype : le papier ciré sec (1841-1860)

Le principe est sensiblement le même que le calotype. Mais, pour augmenter la transparence de la feuille de papier, Gustave Le Gray (1820-1882) à l’idée de l’enduire de cire fondue avant l’immersion dans un bain d’iodure et de bromure de potassium. Il en dépose le brevet en 1851. La « querelle » entre Le Gray et Stéphane Geoffray repose sur l’utilisation de cette cire, le photographe roannais privilégiant l’un des composants de la cire : la céroléine.

Charlieu

Photographie positive de Stephane Geoffray

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Roanne : Place des promenades Populle

Photographie positive de Stephane Geoffray

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Charlieu : Le Prieuré

Photographie positive de Stephane Geoffray

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Vougy : ancienne église

Photographie positive de Stephane Geoffray

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