Vues stéréoscopiques

La photographie en 3D : les vues stéréoscopiques (1850-1930)


Ce sont les premières diapositives destinées à être vues par transparence ou projetées. Sur verre puis sur carton de différents formats, elles nécessitent une visionneuse, le stéréoscope, ou un appareil de projection stéréoscopique. Désespérant d’intéresser des opticiens ou des photographes de son pays, l’écossais David Brewster (1781-1868) vient à Paris et le fait fabriquer par les opticiens Soleil et Duboscq en 1851. De retour à Londres, il le présente à l’Exposition Universelle où l’intérêt de la reine Victoria elle-même lui assure un formidable succès !

Son principe repose sur l’utilisation de 2 objectifs sur un même appareil de prise de vues se déclenchant à quelques secondes de décalage. On obtient ainsi une image à 2 vues (une vue droite et une vue gauche). Par illusion d’optique, l’œil lit cette double image en relief.

Course de côte de Vendranges

Plaque stéréoscopique sur verre positive

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Train traversant le pont sur la Loire

Plaque stéréoscopique sur verre positive

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Châtel-Montagne - Eglise

Plaque stéréoscopique sur verre positive

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Charlieu - Femme souriante sur un porche de maison

Plaque stéréoscopique sur verre positive

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