Au Nord ou presque

Au premier plan, la rue d’Harcourt est masquée par les maisons de la place du Château. Au loin, la rue de Paris se déploie le long d’une zone marécageuse. Elle ne comporte que quelques masures abritant une population pauvre.

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Le château arbore sa façade "gothico-renaissance".  Elle date de 1850 et est l'oeuvre du chevalier de Saint-Thomas qui en est le propriétaire. A l'arrière, l’enceinte de la caserne Werlé paraît bien vide.  Édifiée en 1740, elle devra attendre 1874 pour recevoir ses bâtiments.

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Les immeubles sur la gauche encadrent la rue de Mably (Alexandre Roche). A droite du "tabac", donnant sur la Charité, l'actuelle rue de la Tour. Elle s’appelle alors rue des Rats, du patronyme (déformé) d’une famille ayant habité les lieux au XVIe siècle.

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Dominant les toitures des immeubles de la place du Palais de Justice, la tour Amarante constitue le dernier vestige d’un fief disparu. Elle ne survivra pas au renouvellement urbain des années 1960.

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Dans le lointain, le château des Côtes est plus une villa qu’un réel château. Il sera détruit en 1960 pour laisser la place à un ensemble immobilier. Le long de la route de l'Hôpital, le bâtiment de l'octroi marque l'entrée de la ville.

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Depuis 1810, le couvent des Ursulines abrite le Palais de Justice. Donnant sur l'actuelle rue Jean Macé, on devine la toiture de la prison construite en 1812.

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